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Surface du trou d'ozone au-dessus de l'Antarctique

Le dernier bulletin sur la couche d’ozone au-dessus de l’Antarctique de l’organisation météorologique mondiale révèle que la surface moyenne du trou d’ozone au-dessus de l’Antarctique, sur les dix derniers jours de septembre 2013, était de 20,9 millions de km2 (données de l'Institut météorologique royal des Pays-Bas, KMNI). C’est plus qu’en 2012, mais moins qu’en 2010 et 2011. La déperdition de gaz moyenne pour la même période était de 19,59 mégatonnes, ce qui est plus qu’en 2010 et 2012, mais moins qu’en 2011.
 
Avec la hausse des températures faisant suite à l’hiver austral, le taux de destruction d’ozone va reculer. Il est encore trop tôt pour pouvoir donner un chiffre définitif du degré de déperdition pour 2013. Les données dont on dispose indiquent que, cette année, le trou d’ozone est de plus grande taille qu’en 2012, voire qu’en 2010, mais plus petit que celui observé 2011.
 
Le bulletin sur la couche d’ozone se fonde sur des observations au sol, à partir de ballons et de satellites météorologiques relevant du programme de veille de l’atmosphère globale de l’OMM et de son réseau de stations scientifiques situées dans certaines des régions les plus inhospitalières du globe. La plupart des stations ont fait état de signes manifestes de déperdition d’ozone. Le 17 septembre, par exemple, le trou d’ozone s’étendait jusqu’à la pointe du continent sud-américain et affectait des zones habitées comme Ushuaïa et Río Gallegos. De tels épisodes se produisent généralement quelques rares fois entre septembre et novembre. En novembre, notamment, lorsque le soleil est haut dans le ciel, ils peuvent conduire à une hausse sensible de l’intensité de rayonnement solaire ultraviolet qui touche la surface de la terre.

Image d'illustration pour Surface du trou d'ozone au-dessus de l'Antarctique
 
Les conditions météorologiques observées dans la stratosphère antarctique pendant l’hiver austral (de juin à août) déterminent l’évolution du trou d’ozone se reformant tous les ans. Les dix derniers jours de septembre sont traditionnellement la période où le trou d’ozone atteint sa superficie maximale. Le trou d’ozone le plus important, à presque tous les égards, a été observé en 2006. Un accord international interdisant les principales substances qui appauvrissent l’ozone a stoppé la poursuite de la destruction de la couche d’ozone. Néanmoins, d’importants trous d’ozone devraient encore perdurer au cours des prochaines décennies.
 

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Geneve

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Notre ville de GENEVE

Genève est située entre les Alpes et le Jura, à l’extrémité sud-ouest de la Suisse et du lac Léman. Carrefour au centre de l’Europe occidentale, Genève occupe une situation géographique privilégiée qui la met, par avion, à une heure de Paris ou Milan, et moins de deux heures de Londres, Rome ou Madrid.
Sa superficie est de 282 km² pour une altitude de 373 m.
Sa population est d’environ 200.000 habitants (env. 470.000 pour le canton de Genève)


Le climat de Genève est continental, influencé par le Lac Léman. Ceci engendre la formation de nombreux nuages bas en hiver avec une bise parfois très froide. L’été est généralement chaud et souvent orageux. Il y pleut en moyenne 113 jours / an pour un cumul de 954 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1694 h.


L’histoire de Genève se déroule sur une période de 2.000 ans : Mentionnée pour la 1ère fois par Jules César, la cité a passé sous la domination romaine puis des Burgondes et des Francs avant de devenir un évêché indépendant durant le Moyen Âge. Avec l’arrivée de Jean Calvin, la ville adopte la Réforme protestante et devient un important centre de diffusion du calvinisme à l’échelle européenne. Son tissu économique se diversifie progressivement avec le développement des secteurs de l’horlogerie et de la banque. Il faudra attendre la Révolution française pour que le régime aristocratique s’effondre avec plusieurs tentatives de soulèvement. Après plus de 20 ans sous domination de la France napoléonienne, l’Ancien Régime est partiellement restauré. En 1848, la révolution fazyste transforme profondément Genève dans un contexte d’industrialisation. Le 20è siècle voit l’installation des jeunes organisations internationales et la cité acquiert alors une renommée internationale. L’étymologie de Genève (Genua sous la plume latine de Jules César) est identique à celle de la cité de Gênes en Italie et vient d’un terme ligure (peuplade du nord de l’Italie) qui fait allusion à la proximité d’une nappe d’eau : le lac Léman ou les marais à la sortie du Rhône du lac. De plus, genusus désigne le fleuve en illyrien.


Les principaux centres d’intérêt de Genève sont : La Rade de Genève, le Jet d’eau, l’Horloge fleurie, la Cathédrale Saint-Pierre, le Mur des Réformateurs, la Place Neuve, le Palais des Nations, la Place du Bourg-de-Four, Carouge, sans oublier le lac Léman. Genève est aussi le siège de 22 organisations internationales et plus de 250 ONG. La langue officielle est le français mais l’anglais y est très courant.