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Un hiver très sec aux températures contrastées

Un bilan complet de l'hiver 2016 / 2017 (du 1er décembre 2016 au 28 février 2017) peut désormais être établi. Cet hiver a été marqué par des périodes très froides fin décembre et en janvier.

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Les gelées ont alors concerné une grande partie de la France et les températures minimales observées depuis février 2012 ont été relevées. Des périodes sans dégel se sont également succédées.

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Le mois de février s'est en revanche montré très doux si bien qu'au final, la température moyenne de l'hiver 2016 / 2017 dépasse légèrement la normale 1981 / 2010 de +0,2°C au niveau national.

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Les précipitations ont été extrêmement faibles, excepté sur la Corse et du Roussillon aux Cévennes. Les déficits furent souvent inférieurs à -50% entre le Grand-Est, Rhône-Alpes et PACA. En revanche, en Corse, suite à plusieurs épisodes de fortes pluies, l'excédent dépasse +60%.

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En moyenne nationale, le déficit pluviométrique, comparable à celui de l'hiver 1975-1976, avoisine -40%. Seuls les hivers 1991 /1992 et 1963 / 1964 avaient été plus secs encore au cours des 60 dernières années.

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Très généreux en décembre et janvier, l'ensoleillement a été plus proche des normales en février. En moyenne sur l'hiver, l'excédent a dépassé 20 % sur la plupart des régions à l'exception des Hauts-de-France, de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur et de la Corse.

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Geneve

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Notre ville de GENEVE

Genève est située entre les Alpes et le Jura, à l’extrémité sud-ouest de la Suisse et du lac Léman. Carrefour au centre de l’Europe occidentale, Genève occupe une situation géographique privilégiée qui la met, par avion, à une heure de Paris ou Milan, et moins de deux heures de Londres, Rome ou Madrid.
Sa superficie est de 282 km² pour une altitude de 373 m.
Sa population est d’environ 200.000 habitants (env. 470.000 pour le canton de Genève)


Le climat de Genève est continental, influencé par le Lac Léman. Ceci engendre la formation de nombreux nuages bas en hiver avec une bise parfois très froide. L’été est généralement chaud et souvent orageux. Il y pleut en moyenne 113 jours / an pour un cumul de 954 mm et un ensoleillement annuel moyen est de 1694 h.


L’histoire de Genève se déroule sur une période de 2.000 ans : Mentionnée pour la 1ère fois par Jules César, la cité a passé sous la domination romaine puis des Burgondes et des Francs avant de devenir un évêché indépendant durant le Moyen Âge. Avec l’arrivée de Jean Calvin, la ville adopte la Réforme protestante et devient un important centre de diffusion du calvinisme à l’échelle européenne. Son tissu économique se diversifie progressivement avec le développement des secteurs de l’horlogerie et de la banque. Il faudra attendre la Révolution française pour que le régime aristocratique s’effondre avec plusieurs tentatives de soulèvement. Après plus de 20 ans sous domination de la France napoléonienne, l’Ancien Régime est partiellement restauré. En 1848, la révolution fazyste transforme profondément Genève dans un contexte d’industrialisation. Le 20è siècle voit l’installation des jeunes organisations internationales et la cité acquiert alors une renommée internationale. L’étymologie de Genève (Genua sous la plume latine de Jules César) est identique à celle de la cité de Gênes en Italie et vient d’un terme ligure (peuplade du nord de l’Italie) qui fait allusion à la proximité d’une nappe d’eau : le lac Léman ou les marais à la sortie du Rhône du lac. De plus, genusus désigne le fleuve en illyrien.


Les principaux centres d’intérêt de Genève sont : La Rade de Genève, le Jet d’eau, l’Horloge fleurie, la Cathédrale Saint-Pierre, le Mur des Réformateurs, la Place Neuve, le Palais des Nations, la Place du Bourg-de-Four, Carouge, sans oublier le lac Léman. Genève est aussi le siège de 22 organisations internationales et plus de 250 ONG. La langue officielle est le français mais l’anglais y est très courant.